La divination serait l'art (occulte) de découvrir ce qui est inconnu. la divination peut dévoiler non seulement l'avenir, mais encore le caché, c'est-à-dire le passé, les trésors, les maladies invisibles, les secrets, les mystères..., et cela par des moyens non rationnels, par exemple analogiques, kabbalistiques, psychédéliques, magiques, métapsychiques.
retour d'affection magie blanche et noire, Puissants travaux occultes, retour de l'etre aimé avec un sorcier puissant et efficace.
La voyance repose sur une capacité à « lire » avec ou sans support des possibilités qui ne sont pas encore survenues. De nombreuses expériences ont été tentées à l'ère moderne afin de vérifier ou d'infirmer les théories sur la voyance, en général par les détracteurs de ce phénomène. La voyance n'a aucun fondement scientifique. Ce qui n'empêche pas de nombreuses personnes de recourir aux « voyants » sans mettre en doute cette capacité.
Du point de vue de ceux qui la pratiquent, l'interprétation des visions ou des « lectures » est faite par le voyant lui-même et dépend donc en partie de son univers psychique et culturel. Comme toute interprétation, celle-ci subit en effet les interférences de la subjectivité du voyant mais aussi de celui qui l'a consulté.
On peut aussi considérer la voyance comme une extrapolation intuitive du cours des événements, s'appuyant sur un certain nombre de données considérées comme signifiantes (les signes). Vu sous cet angle, le fonctionnement de la voyance diffère très peu de celui du « dire d'expert » très valorisé socialement depuis la fin du XXe siècle dans de nombreux domaines (politique, sciences humaines, sociologie etc.)
En l'absence d'homologation officielle (tout comme pour certaines psychothérapies), le flou domine cette activité bien que des guides de voyants (comme pour les restaurants) et des fédérations de praticiens aient vu le jour.
Du point de vue de ceux qui la pratiquent, l'interprétation des visions ou des « lectures » est faite par le voyant lui-même et dépend donc en partie de son univers psychique et culturel. Comme toute interprétation, celle-ci subit en effet les interférences de la subjectivité du voyant mais aussi de celui qui l'a consulté.
On peut aussi considérer la voyance comme une extrapolation intuitive du cours des événements, s'appuyant sur un certain nombre de données considérées comme signifiantes (les signes). Vu sous cet angle, le fonctionnement de la voyance diffère très peu de celui du « dire d'expert » très valorisé socialement depuis la fin du XXe siècle dans de nombreux domaines (politique, sciences humaines, sociologie etc.)
En l'absence d'homologation officielle (tout comme pour certaines psychothérapies), le flou domine cette activité bien que des guides de voyants (comme pour les restaurants) et des fédérations de praticiens aient vu le jour.
De manière générale, diverses disciplines constituent les "arts divinatoires" : tarot, astrologie, boule de cristal, etc. Ces pratiques sont bien implantées dans la société, on estime que 21% des femmes et 9% des hommes en France ont déjà rencontré au moins une fois un ou une voyant(e). Le chiffre d'affaires annuel global des quelques 100 000 professionnels de la voyance et de l'occulte est évalué en ce début de XXIe siècle à près de 3 milliards d'euros, ce qui représente environ 15 millions de consultations par an.
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